Les yeux de l'oiseau.

Le genre de chose qui font voir différemment un voyage à ikea, où l'on se rend compte qu'un paquet d'un mètre quatre vingt douze de long et trente cinq kilos, c'est pas si facile à ramener chez vous en fait. Alors ça vous fait un banc, un banc pour regarder le ciel. Espace résiduel de la grande consommation, où poussent pour un temps, coquelicots aux franges d'ikea. Les yeux de l'oiseau, le genre de chose qui vous font voir ses yeux différemment, à l'oiseau. Cher chat, ne pleure pas lorsque tu m'entend chanter, j'ai toujours chanté. A la frontière du rire et du n'importe quoi, tu voudrais m'attraper une bonne fois mais tu oublies que je suis nés ici, dans ta boite cranienne, j'y resterai toujours, peut être pas sous emballage, mais jamais consommé. C'est comme ça. Je viendrais peut être. Je met des peut être de partout, me poser quelque temps sur un nuage encéphale, tu ne connais ni le jour, ni l'heure, c'est comme ça. Je vole, espace résiduel, herbes folles de la grande consommation. Ce coin de carré sauvage, poussent pour un temps coquelicots aux franges d'ikea. Sur ce banc, compte sur moi pour t'aimer, mais pas pour être à l'heure, c'est comme ça. Laisser  le vent tout faire, ni jour, ni heure. Claquer les portes et pousser les stratocumulus, compte sur moi pour t'aimer cher chat, mais pas pour être la. C'est comme ça, les yeux de  l'oiseau.